Lorsque je suis couché, |mes pensées vont vers toi,
je médite sur toi |tout au long de la nuit.
Oui, tu m’accordes ton secours,
je suis dans l’allégresse |à l’ombre de tes ailes[a] !
Je demeure attaché |fidèlement à toi ;
de ta main agissante, |tu me soutiens.

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Footnotes

  1. 63.8 Voir note 17.8.